Relativité

 

Un article de Livingstone.

Cet article est une ébauche

Dans les romans de Hôdo, le déplacement spatial se fait au moyen de l’X2-plasme à une vitesse « supra »-tachyonique. Le voyage se fait en deux temps ; la première partie se fait en remontant dans le passé et la seconde en se dirigeant vers l’objectif.

En fait, il n’y a pas de vitesse supérieure à celle de la lumière, mais une vitesse égale à celle-ci avec inversion de l’axe du temps dans la première moitié du voyage.

Cela suppose que la vitesse de la lumière ne soit pas une asymptote quasi impossible à atteindre, mais une sorte de maximum comme dans les fonctions sinusoïdales : c.sin(δ). Or, par définition, le sinus est le rapport de la longueur du côté opposé à l’angle δ par la longueur de l’hypoténuse d’un triangle rectangle comprenant l’angle δ.

Ce concept est abordable si l’on change le point de vue des deux principaux piliers de la physique que sont le temps et l’espace d’où l’on déduit la vitesse.

La dilatation du temps se calcule comme suit : t = t’(1-v2/c2)-1/2 où t est le temps observé du temps t’ propre.

Cette équation n’est pas sans rappeler le théorème de Pythagore avec t=t’/cos(λ) où t’ et t seraient la longueur de côté adjacent de λ et longueur de l’hypoténuse.

Si l’on garde le même raisonnement pour la contraction des distances, et si on voulait représenter les deux équations graphiquement, on obtiendrait presque une rotation d’un système de coordonnées autour d’un axe perpendiculaire à première vue, sauf que ce sont en fait les axes t’ et d (ou t et d’) qui ont tourné d’un certain angle λ.