Bien public

 

Un article de Livingstone.

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Comment peut-on attendre le respect du bien commun tant que l'on considère que ce qui n'est pas possédé par quelqu'un n'appartient à personne. Et ce qui n'appartient à personne appartiendrait à l'occupant...
Comment peut-on attendre le respect du bien commun tant que l'on considère que ce qui n'est pas possédé par quelqu'un n'appartient à personne. Et ce qui n'appartient à personne appartiendrait à l'occupant...
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Qu'importe si cet occupant est un voisin de palier quelque peu envahissant, un défricheur qui envahit un territoire dépourvu de barrière ou un organisme qui met en vente le sol de la Lune ou de Mars!
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Qu'importe si cet occupant est un voisin de palier quelque peu [[Envahisseurs|envahissant]], un défricheur qui envahit un territoire dépourvu de barrière ou un organisme qui met en vente le sol de la Lune ou de Mars!
Qu'importe si l'on use et abuse des ressources communes en pensant que ce qui est partagé, ce sont les réparations. Partagés sur par les autres!
Qu'importe si l'on use et abuse des ressources communes en pensant que ce qui est partagé, ce sont les réparations. Partagés sur par les autres!
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User et abuser... Déjà il est difficile de respecter celui que l'on voit en ouvrant sa porte, alors, pour l'anonyme, l'invisible, la Terre...
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Comment faire comprendre que la détérioration coûte à tous, quand la publicité incite parfois à saccager, ne fusse que pour laver plus propre...
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Détruire est inévitable, car inexorablement tout s'use, mais pourquoi accélérer le processus par esprit de "consommation", voire de vandalisme?
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Le recyclage? n'est-il pas devenu un leitmotiv autorisant la dégradation? Pourquoi personne ne donne le prix énergétique du recyclage? Car récupérer de la matière première requière de l'énergie et parfois que celle de l'extraction, du rafinement et des divers traitements et transports de la matière.
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Par exemple le bruit, cette chose invisible qui traverse des zones non délimitées d'un bien commun des plus banales: l'atmosphère.
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Plus grave,

Version du 21 juin 2009 à 16:18

La Terre est notre bien publique

Mais comment peut-on respecter notre planète comme notre unique vaisseau à travers l'espace et le temps, si déjà nous ne sommes pas en mesure de respecter les transports en commun?

Comment peut-on attendre le respect du bien commun tant que l'on considère que ce qui n'est pas possédé par quelqu'un n'appartient à personne. Et ce qui n'appartient à personne appartiendrait à l'occupant...

Qu'importe si cet occupant est un voisin de palier quelque peu envahissant, un défricheur qui envahit un territoire dépourvu de barrière ou un organisme qui met en vente le sol de la Lune ou de Mars!

Qu'importe si l'on use et abuse des ressources communes en pensant que ce qui est partagé, ce sont les réparations. Partagés sur par les autres!

User et abuser... Déjà il est difficile de respecter celui que l'on voit en ouvrant sa porte, alors, pour l'anonyme, l'invisible, la Terre...

Comment faire comprendre que la détérioration coûte à tous, quand la publicité incite parfois à saccager, ne fusse que pour laver plus propre...

Détruire est inévitable, car inexorablement tout s'use, mais pourquoi accélérer le processus par esprit de "consommation", voire de vandalisme?

Le recyclage? n'est-il pas devenu un leitmotiv autorisant la dégradation? Pourquoi personne ne donne le prix énergétique du recyclage? Car récupérer de la matière première requière de l'énergie et parfois que celle de l'extraction, du rafinement et des divers traitements et transports de la matière.

Par exemple le bruit, cette chose invisible qui traverse des zones non délimitées d'un bien commun des plus banales: l'atmosphère. Plus grave,