L'éloge de l'échec

 

Un article de Livingstone.

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L’échec peut nous faire reculer, nous figer, voire nous pousser à fuir de l’avant. Pourtant, sans lui, on s’installerait dans le confort de l’immobilisme, mais, grâce à lui, on peut chercher à progresser vers un avenir toujours perfectible.
L’échec peut nous faire reculer, nous figer, voire nous pousser à fuir de l’avant. Pourtant, sans lui, on s’installerait dans le confort de l’immobilisme, mais, grâce à lui, on peut chercher à progresser vers un avenir toujours perfectible.
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Version actuelle

Chaque fois qu’on avance, il y a une part d’incertitude, et il y a une période plus ou moins longue de déséquilibre.

Et lorsque le pas a été fait, on découvre dans le nouveau progrès, en même temps que la part des nouveaux bons acquis, des désagréments inespérés.

L’échec peut nous faire reculer, nous figer, voire nous pousser à fuir de l’avant. Pourtant, sans lui, on s’installerait dans le confort de l’immobilisme, mais, grâce à lui, on peut chercher à progresser vers un avenir toujours perfectible.

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