Discuter:Le langage Wash
Un article de Livingstone.
Le Yi Jing
Le Yi Jing est évoqué dans le roman "Jikogu" (non publié et à la recherche d'un éditeur) comme source du Wash. Ce choix était dû au fait d'une part que la structure mathématique binaire permet de facilement modéliser des algorithmes informatiques, d'autre part que l'ancienne sagesse du taoïsme est basée sur des siècles d'observation populaire qui ne doit pas être trop éloignée d'une certaine réalité "phénoménologique".
L'idée qui n'a pas été développée dans le roman était de créer 128 "mots" pour avoir à peu près la même minimalité que le toki pona, c'est-à-dire en ajoutant une septième ligne aux hexagrammes (donnant ainsi 26 combinaisons). Cette ligne serait intercalé entre les deux trigramme pour conserver le sens "historique" et ajouterait une valur dynamique ou statique selon le cas. (N'oublions pas que le Yi-Ching est la sagesse de la "transformation")
Ainsi, les deux trigrammes:
- ☰ 111 qián signifiant: the Creative, Force, heaven, sky, northwest, father, head, strong, creative, dragon
- ☷ 000 kūn signifiant: the Receptive, Field, earth, southwest, mother, belly, devoted, yielding, receptive, cow
Donnent les hexagrammes:
- |||¦¦¦ Pervading (泰 tài) Peace Pervading
- ¦¦¦||| Obstruction (否 pǐ) Standstill Stagnation
En ajoutant la septième ligne par exemple à l'Obstruction, on conservait soit sa valeur traditonnelle:
- ¦¦¦¦||| Obstruction, bouchon, frein,...
Soit une transformation:
- ¦¦¦|||| arrêter, ralentir, décélérer...