Sept péchés capitaux
Un article de Livingstone.
Cet article est une ébauche
Extrait de Wikipedia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Peche_capital en 2009-03-19)
Le premier à reconnaître un certain nombre de ce qu'il appelait des passions fut Évagre le Pontique, moine gnostique et origénique mort dans le désert égyptien en 399 : Évagre identifia huit passions et estimait que tous les comportements impropres trouvaient leur origine dans une ou plusieurs de celles-ci.
La liste actuelle a été citée par Thomas d'Aquin. Il y mentionne que certains d'entre eux ne sont pas en eux-mêmes à proprement parler des péchés, mais plutôt des vices, c'est-à-dire des tendances à commettre certains péchés.
- la paresse : refus d'accomplir des tâches nécessaires.
- l'orgueil : attribution à ses propres mérites de qualités vues comme des dons de Dieu (intelligence, etc.).
- la gourmandise : ce n'est pas tant la gourmandise au sens moderne qui est blâmable que la gloutonnerie, cette dernière impliquant davantage l'idée de démesure et d'aveuglement que le mot gourmandise. Par ailleurs, on constate que dans d'autres langues ce péché n'est pas désigné par un mot signifiant « gourmandise » (gluttony en anglais, par exemple) et qu'il a été demandé, en vain, à Jean-Paul II pour que le terme gourmandise soit remplacé par gloutonnerie, intempérance ou goinfrerie.
- la luxure : plaisir sexuel recherché pour lui-même.
- l'avarice : accumulation des richesses recherchée pour elle-même.
- la colère : courte folie déjà pour les Anciens, entraînant parfois des actes regrettables.
- l'envie : émotion éprouvée par celui qui désire intensément posséder le bien d’autrui (à ne pas confondre avec la jalousie).