Modèles Économiques de Hôdo

 

Un article de Livingstone.

Cet article est une ébauche

Une éco-nomie-logique ? une monnaie ISO ?

Dans la légende de Hôdo deux systèmes économiques sont décrits.

Celui de Terra est plus « réaliste » même s'il peut surprendre.

Le principe consiste à constater qu'aucun système ne peut exister sans une déperdition d'énergie non productive. Tout système a besoin de s'alimenter et d'entretenir une structure plus ou moins complexe pour lui permettre d'évoluer et de compenser les pertes.

Dans les sociétés actuelles, cela se traduit pour l'alimentation, à extraire les richesses « naturelles », et pour l'entretien de la structure, à maintenir tout un système de « services ». L'extraction des ressources naturelles est de plusieurs types, mais souvent elles sont propriété de certains « dominants ».

Le Hôdon considère la société comme une entité vivante, avec ses organes dédiés au traitement de la matière, de l'énergie et de l'information. Son environnement, la planète, est l'habitacle d'une intelligence et non un gâteau à partager entre dominants.

Cette notion est d'autant plus importante si on veut s'assurer une bonne gestion des ressources planétaire sans conduire à des désastres écologiques et à des querelles meurtrières. De plus, il existe deux sources d'énergie non-propriétaires (ou presque) alimentant la Terre : l'énergie solaire et la gravitationnelle. Or, on pourrait considérer que chaque personne aurait accès, au moins, aux ressources naturelles de la planète. Mais l'occupation des territoires en interdit l'accès aux « prolétaires ? »

D'autre part, les services non « productifs » se font payer sous forme de mutualisation par impositions ou taxes. Il faut ajouter à cela les redistributions de « solidarité ». On voit ainsi une multitude de dépenses : allocations familiales, réinsertions sociales, soutiens de handicapés, retraites, assurances chômage... et le salaire et l'équipement des non productifs constants comme administratifs, artistes, bénévoles, chercheurs, enseignants, fonctionnaires, magistrats, militaires, policiers, pompiers, soignants...

Celui de Hôdo peut paraître plus « idéaliste ».

Pourtant, ce système est mis en application de manière remarquable, par exemple, dans le développement de logiciels libres ou dans l'enrichissement de « Wikipedia ».

Nos sociétés développées manipulent le merveilleux talent du paradoxe en incitant les gens à travailler plus pour gagner plus tout en dépendant de plus en plus de millier d'organismes bénévoles et gratuits compensant les défaillances du social.

Idées en vrac

  • un parti avec un seul règle : la non-domination (acratie)
    • économie un salaire de base de la naissance à la mort
  • pas de parti, car sinon mises en place d'une dichotomie (rideau de fer) et/ou d'une « invasion » (internationales...).
  • troisième voie : la pensée de chacun. Mais attention au danger du prêt-à-penser.
  • Plus la barre du niveau intellectuel des taches est élevée, plus les laissés pour comptes sont nombreux, car ce qui ne change pas globalement au cours des progrès techniques, c'est l'Homme.

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